Mérimée n’écrit des nouvelles que pour son amusement ou « pour plaire à quelqu’un ».
(…) le cabinet de travail où Mérimée veillait fort avant dans la nuit, des babouches turques aux pieds et drapé dans une magnifique robe de chambre japonaise à grands ramages…
Quant à la page luminaire sur la bataille de Munda […] on y verra, comme dans l’appendice (mi- érudit, mi- pédant) sur les Bohémiens, qui forme le dernier chapitre, une marque nouvelle de ce détachement affecté de Mérimée à l’égard des histoires qu’il raconte.
(…) l’amour fatal d’un garçon bon et faible pour une « adorable furie ».
Pierre Josserand
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