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samedi 11 septembre 2021

Adoptez une éolienne !…

Les phénomènes de courants vagabonds et la situation hydrogéologique du sous-sol sont des facteurs susceptibles d’expliquer les ravages dans les élevages situés près d’éoliennes.

En huit ans, un éleveur de Loire-Atlantique a vu son cheptel décimé : pas moins de 420 vaches sont mortes de manière inexpliquée. Outre ces pertes, ses normandes et charolaises peinent à vêler et la quantité comme la qualité de leur lait s’amenuisent.  Il y a aussi leur nervosité à l’approche de la salle de traite, leur refus d’obstacles à l’approche d’une barrière métallique et du champ d’éoliennes au pied duquel elles paissent, leurs yeux exorbités, les kystes qui déforment leurs articulations… 


Mais ces perturbations ne touchent pas seulement les animaux. Depuis l’arrivée des éoliennes, plusieurs riverains se plaignent d’insomnies, de céphalées, de tachycardies, de douleurs abdominales et articulaires… Des maux qui disparaissent sitôt les pales à l’arrêt.


En cause : les champs électromagnétiques diffusés par les câbles transportant leur électricité enfouis dans un sol strié de veines d’eau. Les mauvaises jonctions, voire l’utilisation de câbles en aluminium et non en cuivre réglementaire, généreraient des courants “parasites” qui se redirigeraient vers sa maison, située sur une faille d’eau. 

Ces courants “vagabonds” se baladeraient jusqu’à leur exploitation et notamment les salles de traite, en suivant les veines d’eau dont le sol schisteux est strié. Les vaches, plus sensibles que les hommes à ces ondes, se prendraient en quelque sorte des “châtaignes” en continu… 


Arrivée enfin de vie au bout d’une vingtaine d’années de fonctionnement, l’éolienne devra être démantelée. Le devis pour ce type d’opération avoisine les 400 000 €… Sans parler du recyclage problématique, puisque seul le mât en acier peut l’être… 

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