Autour de moi, les couples se séparent, après des années de vie commune… souvent quand les enfants sont adolescents…
En faisant du rangement dans mes archives, je suis tombé sur un article de Xavier Lacroix, dans la revue Etudes, en décembre 1998. En voici quelques extraits.
"Jamais auparavant dans l'histoire, la famille n'a reposé si
exclusivement sur la relation de couple", peut affirmer une sociologue
canadienne Johanne Boisvert dans "Recueil de réflexions sur la stabilité
des couples-parents" (1996).
Faire reposer la stabilité de toute une communauté, d'une cellule
sociale impliquant des liens aussi précieux que les liens parentaux, sur les
aléas du désir et du sentiment : la situation est inédite.
Notre thèse et
que l'amour gagnera à intégrer les valeurs de l'amitié, des ressources pour la
volonté, la référence à l'altérité de tiers.
Aimer c'est vouloir l'autre comme sujet.
L’intuition profonde de celui qui mise sur l’amour est que la vie est un don, qu’elle trouve sa joie et son accomplissement dans le don.
Aimer c'est vouloir l'autre comme sujet.
L’intuition profonde de celui qui mise sur l’amour est que la vie est un don, qu’elle trouve sa joie et son accomplissement dans le don.
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