Le programme atomique américain : au départ, 200000 personnes y travaillent secrètement, selon un programme de recherche lancé par Roosevelt sans l'accord du Congrès.
Il voulait l'avoir avant les Soviétiques.
L'Allemagne nazie avait déjà bien travaillé dessus. L'armée Américaine a pris possession de barils d'uranium enrichi en Allemagne, les a ramenés et transformés.
En 4 mois, 66 villes japonaises avaient été détruites par les bombes, faisant 400000 morts. La population japonaise ne voulait plus poursuivre la guerre, le gouvernement japonais le savait.
Mais l'armée continuait sa propagande victorieuse mensongère.
L'Empereur a envoyé des émissaires pour négocier une reddition. L'URSS devait être leur médiateur. Ou via des voies officieuses. Les Américains sont informés.
Les accords de Potzdam sont signés par les Etats-Unis, l'URSS et le Royaume-Uni en juillet 1945. Ils sont supposés fixer le sort des puissances ennemies.
Il sont inacceptables pour le régime impérial japonais.
Il fallait essayer la bombe, et montrer qui était le plus fort ; tuer un maximum de gens en détruisant un maximum d'habitations légères.
Pour la première bombe, le premier choix de ville des Américains étaient Kyoto, parce que la ville était habitée de gens instruits qui seraient plus susceptibles de mesurer la portée destructrice de la bombe ! Mais finalement, Kyoto, "la ville-capitale", a été épargnée.
Le 6 août 1945, la première bombe explosé à 600 m de hauteur au-dessus d'Hiroshima.
Aveuglement et onde de choc qui s'est propagée à 1600 km/h depuis l'épicentre.
Sur 1,5 km autour du point d'impact, la température est 5 fois plus élevée qu'à la surface du soleil.
Au crépuscule, le ciel d'Hiroshima est rouge vif.
La ville n'est que débris fumants, immense champ de cendres.
Quelques râles et gémissements, sinon silence absolu.
L'air vibre partout comme dans des mirages.
Des silhouettes noires, les organes à vif, errent ou jonchent le sol.
Une odeur qui donne des nausées des décennies plus tard.
Et les avions américains survolent et prennent des photos.
Le Dr Hidda seul a fait face à 30 000 malades qui mouraient d'une cause inconnue par lui.
Aveuglement et onde de choc qui s'est propagée à 1600 km/h depuis l'épicentre.
Sur 1,5 km autour du point d'impact, la température est 5 fois plus élevée qu'à la surface du soleil.
Au crépuscule, le ciel d'Hiroshima est rouge vif.
La ville n'est que débris fumants, immense champ de cendres.
Quelques râles et gémissements, sinon silence absolu.
L'air vibre partout comme dans des mirages.
Des silhouettes noires, les organes à vif, errent ou jonchent le sol.
Une odeur qui donne des nausées des décennies plus tard.
Et les avions américains survolent et prennent des photos.
Le Dr Hidda seul a fait face à 30 000 malades qui mouraient d'une cause inconnue par lui.
La deuxième bombe, pour Nagasaki, trois jours plus tard, est un bombe au plutonium. C'était moins cher et plus rapide à produire. Uniquement pour montrer aux militaires qu'avec le plutonium aussi ça marchait.
Bizarrement là aussi pas d'intervention de l'armée japonaise. Pendant cinq heures. Les généraux, alertés par les services secrets, savaient, mais n'ont rien fait.
Elle tue 40 000 personnes d'un coup.
Elle tue 40 000 personnes d'un coup.
A Hiroshima, sur les décombres , les yakuzas prospèrent.
Environ 200 filles entre 8 et 11 ans sont exploitées par des proxénètes.
Les orphelins errent, affamés. Ils lèchent des pierres pour calmer la faim.
Nausées, pertes de cheveux, fièvres, morts...
Les généraux américains escamotent tout ça. Tous les effets des radiations étaient connus.
Mais pire : les scientifiques utilisent les victimes comme des cobayes, selon des documents "classés Défense" pendant trente ans.
Les largueurs de bombe sont des héros dans leur pays.
Environ 200 filles entre 8 et 11 ans sont exploitées par des proxénètes.
Les orphelins errent, affamés. Ils lèchent des pierres pour calmer la faim.
Nausées, pertes de cheveux, fièvres, morts...
Les généraux américains escamotent tout ça. Tous les effets des radiations étaient connus.
Mais pire : les scientifiques utilisent les victimes comme des cobayes, selon des documents "classés Défense" pendant trente ans.
Les largueurs de bombe sont des héros dans leur pays.
Les Américains créent un institut de recherche à Hiroshima. Ils examinent, étudient les effets des radiations, mais ne soignent rien. Ils n'ont rien à envier aux nazis.
Et les Japonais ostracisent les irradiés.
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